L'appel angoissé de la septuagénaire est arrivé au Centre d'information et de commandement (CIC) de l'hôtel de police de Rouen qui a dépêché aussitôt deux équipages de la BAC
La présence d'esprit de trois policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de Rouen a permis de sauver de l'asphyxie une femme âgée de 70 ans, enfermée dans sa maison envahie par une épaisse noire dans la nuit de vendredi à samedi, à Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime).
Vers 3 heures du matin, le Centre d'information et de commandement (CIC) de l'hôtel de police reçoit un appel d'une personne qui semble paniquée. Cette femme dit avoir été réveillée par des bruits suspects au rez-de-chaussée de la maison.
Des appels au secours
Les policiers pensent tout de suite à un cambriolage en cours. Deux équipage de la BAC se rendent sur les lieux indiqués, rue du Madrier à Sotteville-lès-Rouen. Mais quand ils arrivent, ils sentent une très forte odeur de brûlé et constatent qu'une épaisse fumée s'échappe de la toiture de l'habitation.
Les fonctionnaires frappent à la porte protégée par un volet roulant métallique. A l'intérieur, une voix leur répond par des appels au secours. La femme explique que sa chambre est remplie de fumée et qu'elle ne peut pas ouvrir les volets électriques, car elle n'a plus d'électricité.
Il faut faire vite
Les policiers entreprennent alors d'ouvrir le volet de la porte en vain. Il faut pourtant faire vite, ils en ont conscience. Ils demandent à un voisin de leur prêter une échelle pour se hisser jusqu'à la fenêtre de la chambre au premier étage. Là, à l'aide d'un tonfa, l'un des fonctionnaires arrache le volet et brise la fenêtre en double vitrage de la chambre.
Dans la chambre, les sauveteurs se saisissent de la septuagénaire le visage noirci et la redescendre pour la mettre en sécurité chez un voisin en attendant l'arrivée des sapeurs-pompiers. La victime a été placée en observation au CHU de Rouen.
Les trois policiers, incommodés par la fumée, ont également été conduits à l'hôpital pour examen.
Selon les premiers éléments de l'enquête, un court-circuit électrique serait à l'origine du dégagement de cette fumée qui aurait pu avoir de graves conséquences.
Vers 3 heures du matin, le Centre d'information et de commandement (CIC) de l'hôtel de police reçoit un appel d'une personne qui semble paniquée. Cette femme dit avoir été réveillée par des bruits suspects au rez-de-chaussée de la maison.
Des appels au secours
Les policiers pensent tout de suite à un cambriolage en cours. Deux équipage de la BAC se rendent sur les lieux indiqués, rue du Madrier à Sotteville-lès-Rouen. Mais quand ils arrivent, ils sentent une très forte odeur de brûlé et constatent qu'une épaisse fumée s'échappe de la toiture de l'habitation.
Les fonctionnaires frappent à la porte protégée par un volet roulant métallique. A l'intérieur, une voix leur répond par des appels au secours. La femme explique que sa chambre est remplie de fumée et qu'elle ne peut pas ouvrir les volets électriques, car elle n'a plus d'électricité.
Il faut faire vite
Les policiers entreprennent alors d'ouvrir le volet de la porte en vain. Il faut pourtant faire vite, ils en ont conscience. Ils demandent à un voisin de leur prêter une échelle pour se hisser jusqu'à la fenêtre de la chambre au premier étage. Là, à l'aide d'un tonfa, l'un des fonctionnaires arrache le volet et brise la fenêtre en double vitrage de la chambre.
Dans la chambre, les sauveteurs se saisissent de la septuagénaire le visage noirci et la redescendre pour la mettre en sécurité chez un voisin en attendant l'arrivée des sapeurs-pompiers. La victime a été placée en observation au CHU de Rouen.
Les trois policiers, incommodés par la fumée, ont également été conduits à l'hôpital pour examen.
Selon les premiers éléments de l'enquête, un court-circuit électrique serait à l'origine du dégagement de cette fumée qui aurait pu avoir de graves conséquences.