Les élèves se plaignant de maux de ventre et d'autres symptômes avaient été examinés sur place par les sapeurs-pompiuers et un médecin du SMUR - Illustration © Adobe Stock
Dans la soirée du lundi 22 janvier, les sapeurs-pompiers étaient intervenus au lycée Gilbert Martin du Neubourg (Eure) pour des élèves se plaignant de nausées et de maux de ventre, après le dîner du soir. Après avoir suspecté une intoxication au monoxyde de carbone (les relevés avaient alors permis d'écarter cette hypothèse), les secours avaient conclu à une suspicion d'intoxication alimentaire.
Les dix-neuf élèves de l'internat concernés, en majorité des jeunes filles, avaient été pris en charge par les sapeurs-pompiers et un médecin du SMUR (structure mobile d'urgence et de réanimation). Aucun d'entre eux n'avait été hospitalisé. Seuls, deux des lycéens ont demandé à rentrer chez eux.
Les dix-neuf élèves de l'internat concernés, en majorité des jeunes filles, avaient été pris en charge par les sapeurs-pompiers et un médecin du SMUR (structure mobile d'urgence et de réanimation). Aucun d'entre eux n'avait été hospitalisé. Seuls, deux des lycéens ont demandé à rentrer chez eux.
Aucune explication à ce jour
Près de deux semaines après cet incident, la direction de l'établissement vient d'apporter des précisions sans pouvoir expliquer véritablement l'origine de ces maux de ventre et vomissements.
Les expertises conduites par la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) et l’Agence régionale de santé (ARS) de Normandie « ont conclu à l’absence d’intoxication alimentaire ainsi qu’au monoxyde de carbone », assurent le directeur Philippe Commun et son adjointe Carole Pecquery, dans un communiqué de presse publié ce vendredi. .
L'expertise a, par ailleurs, « réaffirmé le respect des procédures de mises en œuvre du plan de maîtrise sanitaire. Aucune autre hypothèse d’explications n’a été formulée à ce jour ».
Les expertises conduites par la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) et l’Agence régionale de santé (ARS) de Normandie « ont conclu à l’absence d’intoxication alimentaire ainsi qu’au monoxyde de carbone », assurent le directeur Philippe Commun et son adjointe Carole Pecquery, dans un communiqué de presse publié ce vendredi. .
L'expertise a, par ailleurs, « réaffirmé le respect des procédures de mises en œuvre du plan de maîtrise sanitaire. Aucune autre hypothèse d’explications n’a été formulée à ce jour ».