Des peines de 5 et 3 ans de prison ferme ont été prononcées par le tribunal correctionnel de Versailles à l'encontre de deux trafiquants de stupéfiants. Deux autres, considérés comme les "nourrices" ont écopé de 24 mois d'emprisonnement dont 18 avec sursis. A leur domicile, à Plaisir (Yvelines), les enquêteurs ont découvert 10 kg de résine de cannabis.
A l'origine de l'enquête policière, une dénonciation anonyme d'une personne révélant l'existence d'un trafic de stupéfiants dans le quartier du Valibout à Plaisir. Un trafic orchestré principalement par deux individus, selon cet informateur.
La drogue était stockée chez des "nourrices"
Les investigations, les nombreuses surveillances physiques, les différentes filatures et la géolocalisation en temps réel du véhicule des deux mis en cause permettaient d’établir qu’une livraison avait eu lieu le soir du 8 avril dernier et que les produits stupéfiants avaient été stockés chez une "nourrice".
Le lendemain donc, au petit matin, les policiers du groupe de lutte contre les stupéfiants et le groupe des fraudes de la circonscription d’agglomération de Plaisir, appuyés par le GSI (Gestionnaire de scène d’infraction) et la brigade cynophile de la Sûreté départementale, interpellaient le couple nourricier et les deux principaux auteurs de ce trafic.
La perquisition chez les nourrices permettait de découvrir dix kilos de résine de cannabis en plaquette estampillées « Seum 13 » et une petite quantité de consommation. Chez l’un des trafiquants il était découvert une plaquette de 100 grammes portant la même marque et 300 euros en liquide et chez le second quelques grammes correspondant à son usage personnel.
5 et 3 ans de prison ferme
Entendus les nourrices mettaient en cause les deux individus et reconnaissaient avoir déjà stocké une première fois environ dix kilos de résine puis une cinquantaine de grammes d’herbe de cannabis. Ils en tiraient à chaque fois le bénéfice d’une plaquette de cent grammes pour leur consommation.
L’auteur principal du trafic reconnaissait la propriété des dix kilos trouvés lors de la perquisition mais niait l’existence des dix premiers kilos de stupéfiants. Le second auteur confirmait son implication au même titre que son comparse.
Les quatre mis en cause ont été présentés devant le parquet de Versailles, qui leur a notifié une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. Les nourrices ont été condamnées à 24 mois dont 18 avec sursis tandis que les deux principaux trafiquants ont écopé de 5 et 3 ans d’emprisonnement avec maintien en détention.
A l'origine de l'enquête policière, une dénonciation anonyme d'une personne révélant l'existence d'un trafic de stupéfiants dans le quartier du Valibout à Plaisir. Un trafic orchestré principalement par deux individus, selon cet informateur.
La drogue était stockée chez des "nourrices"
Les investigations, les nombreuses surveillances physiques, les différentes filatures et la géolocalisation en temps réel du véhicule des deux mis en cause permettaient d’établir qu’une livraison avait eu lieu le soir du 8 avril dernier et que les produits stupéfiants avaient été stockés chez une "nourrice".
Le lendemain donc, au petit matin, les policiers du groupe de lutte contre les stupéfiants et le groupe des fraudes de la circonscription d’agglomération de Plaisir, appuyés par le GSI (Gestionnaire de scène d’infraction) et la brigade cynophile de la Sûreté départementale, interpellaient le couple nourricier et les deux principaux auteurs de ce trafic.
La perquisition chez les nourrices permettait de découvrir dix kilos de résine de cannabis en plaquette estampillées « Seum 13 » et une petite quantité de consommation. Chez l’un des trafiquants il était découvert une plaquette de 100 grammes portant la même marque et 300 euros en liquide et chez le second quelques grammes correspondant à son usage personnel.
5 et 3 ans de prison ferme
Entendus les nourrices mettaient en cause les deux individus et reconnaissaient avoir déjà stocké une première fois environ dix kilos de résine puis une cinquantaine de grammes d’herbe de cannabis. Ils en tiraient à chaque fois le bénéfice d’une plaquette de cent grammes pour leur consommation.
L’auteur principal du trafic reconnaissait la propriété des dix kilos trouvés lors de la perquisition mais niait l’existence des dix premiers kilos de stupéfiants. Le second auteur confirmait son implication au même titre que son comparse.
Les quatre mis en cause ont été présentés devant le parquet de Versailles, qui leur a notifié une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. Les nourrices ont été condamnées à 24 mois dont 18 avec sursis tandis que les deux principaux trafiquants ont écopé de 5 et 3 ans d’emprisonnement avec maintien en détention.