L'auteur d'une alerte à la bombe au lycée Léopold-Sédar-Senghor, à Magnanville, dans l'agglomération de Mantes (Yvelines) a été interpellé hier mardi à son domicile à Rosny-sur-Seine. Il a prétexté avoir voulu faire reporter des épreuves...
"J'ai mis une bombe"
Les faits remontent au mercredi 17 février. Il est 7h30 quand le standard de police-secours reçoit un appel inquiétant : "j'ai mis une bombe dans le lycée Senghor", déclare l'interlocuteur anonyme. Il s'agit d'une voix d'homme.
Une patrouille de police est envoyée sur place à Magnanville et avec l'accord du proviseur adjoint, les policiers procèdent à une visite complète de l'établissement. Quinze agents de l'Éducation nationale sont rassemblés dans la cour. A cette heure, aucun n'élève ne se trouve alors dans le lycée où des épreuves orales du bac blanc sont prévues.
Au bout d'une heure, il est mis fin aux recherches : la fouille n'a permis de découvrir rien de suspect. A 9h20, il est donc décidé de permettre aux élèves de réintégrer leurs classes.
Interpellé à son domicile à Rosny-sur-Seine
Une enquête est ouverte par la Sûreté urbaine du commissariat de Mantes-la-Jolie. En lien avec les responsables de l'établissement scolaire, les enquêteurs parviennent rapidement à orienter les recherches autour d'un jeune concerné par un examen blanc le jour même.
Le suspect, âgé de 18 ans, a été interpellé hier mardi au domicile de ses parents et placé en garde à vue. "Lors de ses auditions, il a fini par reconnaître les faits en expliquant qu'il voulait faire reporter les épreuves", relate une source proche de l'enquête.
Il doit être déféré ce mercredi après-midi au palais de justice de Versailles pour être présenté à un magistrat du parquet.
"J'ai mis une bombe"
Les faits remontent au mercredi 17 février. Il est 7h30 quand le standard de police-secours reçoit un appel inquiétant : "j'ai mis une bombe dans le lycée Senghor", déclare l'interlocuteur anonyme. Il s'agit d'une voix d'homme.
Une patrouille de police est envoyée sur place à Magnanville et avec l'accord du proviseur adjoint, les policiers procèdent à une visite complète de l'établissement. Quinze agents de l'Éducation nationale sont rassemblés dans la cour. A cette heure, aucun n'élève ne se trouve alors dans le lycée où des épreuves orales du bac blanc sont prévues.
Au bout d'une heure, il est mis fin aux recherches : la fouille n'a permis de découvrir rien de suspect. A 9h20, il est donc décidé de permettre aux élèves de réintégrer leurs classes.
Interpellé à son domicile à Rosny-sur-Seine
Une enquête est ouverte par la Sûreté urbaine du commissariat de Mantes-la-Jolie. En lien avec les responsables de l'établissement scolaire, les enquêteurs parviennent rapidement à orienter les recherches autour d'un jeune concerné par un examen blanc le jour même.
Le suspect, âgé de 18 ans, a été interpellé hier mardi au domicile de ses parents et placé en garde à vue. "Lors de ses auditions, il a fini par reconnaître les faits en expliquant qu'il voulait faire reporter les épreuves", relate une source proche de l'enquête.
Il doit être déféré ce mercredi après-midi au palais de justice de Versailles pour être présenté à un magistrat du parquet.