Les violences se sont déroulées dans le hall de la gare à proximité du monument aux Morts érigé à la mémoire des cheminots décédés pendant la guerre
SEINE-MARITIME - Les trois hommes qui ont agressé deux cheminots dans le hall de la gare de Dieppe, devaient être jugés ce vendredi après-midi devant le tribunal correctionnel de Dieppe, dans le cadre d'une comparution immédiate.
Les faits sont survenus mercredi 13 novembre vers 19 h 30. Un chef d'escale de la SNCF était allé à la rencontre de trois inconnus qui, selon lui, s'amusaient à cracher sur le monument aux Morts érigé dans le à la mémoire des cheminots décédés pendant la guerre. Il voulait leur demander de cesser.
Mais cet instant, il a été violemment pris à partie, frappé et jeté au sol par ses agresseurs. Il s'est vu délivrer huit jours d'interruption totale de travail (ITT). Son collègue, un chef de manœuvre, a eu droit au même sort alors qu'il tentait de s'interposer.
Les agresseurs ont été interpellés le lendemain par la SUGE, la police ferroviaire, jeudi vers 12 h dans le hall de la gare, après avoir été reconnus par un témoin. Remis aux mains des policiers de Dieppe, ils ont été placés en garde à vue pour coups et blessures volontaires.
Les mis en cause âgés de 20, 21 et 27 ans ont été présentés ce vendredi à un magistrat du parquet de Dieppe qui leur a notifié leur comparution immédiate devant le tribunal.
Les faits sont survenus mercredi 13 novembre vers 19 h 30. Un chef d'escale de la SNCF était allé à la rencontre de trois inconnus qui, selon lui, s'amusaient à cracher sur le monument aux Morts érigé dans le à la mémoire des cheminots décédés pendant la guerre. Il voulait leur demander de cesser.
Mais cet instant, il a été violemment pris à partie, frappé et jeté au sol par ses agresseurs. Il s'est vu délivrer huit jours d'interruption totale de travail (ITT). Son collègue, un chef de manœuvre, a eu droit au même sort alors qu'il tentait de s'interposer.
Les agresseurs ont été interpellés le lendemain par la SUGE, la police ferroviaire, jeudi vers 12 h dans le hall de la gare, après avoir été reconnus par un témoin. Remis aux mains des policiers de Dieppe, ils ont été placés en garde à vue pour coups et blessures volontaires.
Les mis en cause âgés de 20, 21 et 27 ans ont été présentés ce vendredi à un magistrat du parquet de Dieppe qui leur a notifié leur comparution immédiate devant le tribunal.