Le pistolet Smith et Wesson est une arme utilisée par les services de police, l'armée et les tireurs sportifs (Photo d'illustration)
L'arme était chargée de quatre balles. Des balles qui en principe ne peuvent pas tuer. Mais quand même. Le pistolet à barillet que l'adolescent avait en sa possession est une réplique du redoutable Smith & Wesson à cinq coups.
A quoi cette arme de poing pouvait-elle bien servir à ce très jeune homme ? A commettre un mauvais coup ou à impressionner (ou épater) ses copains ? Les policiers qui ont ouvert une enquête n'ont pas encore la réponse.
Prêt à être utilisé
L'adolescent a été interpellé mardi 18 novembre peu après 13 heures, tout à fait par hasard. Un véhicule de police-secours d'Elbeuf est en patrouille rue de la Gare à Elbeuf. En passant, les policiers remarquent trois jeunes gens dont un exhibe une arme. A la vue des fonctionnaires, ce dernier tente de dissimuler le pistolet derrière son sac à dos. Trop tard : il est interpellé sur le champ.
En inspectant l'arme, les gardiens de la paix constatent que le "calibre" est approvisionné de quatre cartouches, prêt à être utilisé en quelque sorte. Le jeune homme a beau expliquer que c'est un copain qui lui a passé le pistolet, il est ramené au commissariat de police pour audition.
Il a été remis à ses parents dans la xsoirée, mais le Smith et Wesson a été confisqué en attendant une décision de justice.
A quoi cette arme de poing pouvait-elle bien servir à ce très jeune homme ? A commettre un mauvais coup ou à impressionner (ou épater) ses copains ? Les policiers qui ont ouvert une enquête n'ont pas encore la réponse.
Prêt à être utilisé
L'adolescent a été interpellé mardi 18 novembre peu après 13 heures, tout à fait par hasard. Un véhicule de police-secours d'Elbeuf est en patrouille rue de la Gare à Elbeuf. En passant, les policiers remarquent trois jeunes gens dont un exhibe une arme. A la vue des fonctionnaires, ce dernier tente de dissimuler le pistolet derrière son sac à dos. Trop tard : il est interpellé sur le champ.
En inspectant l'arme, les gardiens de la paix constatent que le "calibre" est approvisionné de quatre cartouches, prêt à être utilisé en quelque sorte. Le jeune homme a beau expliquer que c'est un copain qui lui a passé le pistolet, il est ramené au commissariat de police pour audition.
Il a été remis à ses parents dans la xsoirée, mais le Smith et Wesson a été confisqué en attendant une décision de justice.