Le drame s'est noué dans un appartement de cet immeuble situé en bordure de l'impasse Charles Lenepveu - Illustration © Google Maps
Le meurtrier présumé de sa compagne qui avait été interpellé lundi matin à son domicile, à Mont-Saint-Aignan, a finalement été interné au centre hospitalier spécialisé du Rouvray, près de Rouen.
Placé en garde à vue, il a pu cependant être entendu sur le déroulement des faits par les enquêteurs de la sûreté départementale, avant d’être examiné par un médecin psychiatre.
Placé en garde à vue, il a pu cependant être entendu sur le déroulement des faits par les enquêteurs de la sûreté départementale, avant d’être examiné par un médecin psychiatre.
► Plusieurs dizaines de coups de couteau
Lundi matin, vers 9h30, le sexagénaire avait contacté police secours pour dire qu’il venait de tuer sa compagne dans son appartement 10, rue Charles-Lenepveu.
Les sapeurs-pompiers puis les policiers avaient découvert le corps sans vie d’une femme de 45 ans, tuée de « plusieurs dizaines de coups de couteau », selon nos informations. L’arme utilisée serait un couteau de cuisine.
La victime, sous curatelle renforcée, était amourachée de cet homme à qui elle avait rendu visite le matin même du drame. Elle vivait seule dans un appartement à Déville-lès-Rouen.
Les sapeurs-pompiers puis les policiers avaient découvert le corps sans vie d’une femme de 45 ans, tuée de « plusieurs dizaines de coups de couteau », selon nos informations. L’arme utilisée serait un couteau de cuisine.
La victime, sous curatelle renforcée, était amourachée de cet homme à qui elle avait rendu visite le matin même du drame. Elle vivait seule dans un appartement à Déville-lès-Rouen.
► Pas d'antécédent judiciaire
Que s’est-il passé lundi matin ? Les investigations policières qui ne font que commencer devraient permettre d’apporter des éléments de réponse à cette question dans les prochains jours.
Le sexagénaire était inconnu des services de police et de la justice : aucune trace de plainte ou de main courante le concernant pour des faits de violences conjugales.
L’homme avait fait l’objet d’un séjour en hôpital psychiatrique au début de l’année.
Le sexagénaire était inconnu des services de police et de la justice : aucune trace de plainte ou de main courante le concernant pour des faits de violences conjugales.
L’homme avait fait l’objet d’un séjour en hôpital psychiatrique au début de l’année.