Illustration © Adobe stock
La vengeance est un plat qui se mange froid. Un habitant de Grand-Quevilly (Seine-Maritime) l’a appris à ses dépends. Pour se venger de son infidélité, deux femmes avec lesquelles il avait séparément des relations intimes, s’en sont pris d’un commun accord à son véhicule.
Les faits se sont déroulés dans le courant de cette nuit de jeudi à vendredi, à Grand-Quevilly. Vers minuit, police secours reçoit un appel sur le 17 d’un homme signalant deux individus, la tête cachée par une capuche, en train de commettre des dégradations sur un fourgon Ford, en stationné dans la rue.
Les faits se sont déroulés dans le courant de cette nuit de jeudi à vendredi, à Grand-Quevilly. Vers minuit, police secours reçoit un appel sur le 17 d’un homme signalant deux individus, la tête cachée par une capuche, en train de commettre des dégradations sur un fourgon Ford, en stationné dans la rue.
Pneus crevés, enjoliveurs arrachés...
Un équipage de la brigade anticriminalité arrive sur place et constate, en effet, que les quatre pneus du véhicule sont crevés, les enjoliveurs sont arrachés et les essuies glaces tordus.
Les policiers font des recherches et retrouvent sans tarder les auteurs, deux femmes, à bord d’une voiture en stationnement. Interrogées. Elles reconnaissent être à l’origine des dégradations. Elles expliquent leurs motivations : elles confient que le propriétaire du fourgon est un homme qui entretient discrètement une relation amoureuse avec chacune d’elles. Se sentant trahie, elles ont alors décidé de lui faire payer son indélicatesse.
Les policiers font des recherches et retrouvent sans tarder les auteurs, deux femmes, à bord d’une voiture en stationnement. Interrogées. Elles reconnaissent être à l’origine des dégradations. Elles expliquent leurs motivations : elles confient que le propriétaire du fourgon est un homme qui entretient discrètement une relation amoureuse avec chacune d’elles. Se sentant trahie, elles ont alors décidé de lui faire payer son indélicatesse.
Laissées libres
Les deux femmes, âgées de 19 et 20 ans, ont été invitées à suivre les policiers jusqu’à l’hôtel de police pour être entendues hors garde à vue.. La plus jeune a remis un couteau de cuisine.
Elles ont été laissées libres.
Elles ont été laissées libres.