Le pistolet à impulsion électrique libère une onde de 2 milliampères pour 50 000 volts (Photo d'illustration)
EURE - L'alcool aidant, un homme de 27 ans originaire de Thiberville a donné du fil à retordre aux gendarmes de Bernay dimanche soir, 23 mars. Les militaires ont même dû faire usage de leur pistolet à impulsion électrique, le fameux Taser, pour venir à bout de l'individu particulièrement violent et agressif. Voyons les faits.
Il est autour de 19 heures. Une patrouille est de retour à la brigade de Bernay. Elle est allée constater un accident matériel à Thiberville. Sur son chemin, elle remarque un piéton qui semble avoir beaucoup de difficulté à tenir sur ses jambes. Il titube. Comme souvent dans ces cas-là, et par sécurité, les militaires proposent à l'inconnu de le ramener chez lui.
Une décharge de 50 000 volts
La discussion ne s'engage pas. L'homme, en état d'ivresse, devient rapidement agressif. En état d'excitation, il insulte les forces de l'ordre et se débat au moment où ces dernières tentent de le faire monter dans leur véhicule pour l'emmener à l'hôpital en vue de le placer par la suite en cellule de dégrisement.
En cours de route, le jeune homme remet ça de plus belle. Cette fois, les gendarmes sont contraints d'utiliser leur pistolet à impulsion électrique pour le calmer. Mais la décharge de 50 000 volts ne suffit pas à le ramener à la raison. En effet, à l'arrivée à l'hôpital, il se débat avec force plus encore, si bien qu'il faut faire appel à des renforts.
Les gendarmes déposent plainte
Après avoir été examiné par un médecin, l'individu a été ramené à la gendarmerie où il a été placé en garde à vue. A l'issue de son audition, il a été remis en liberté avec, en poche, une convocation par officier de police judiciaire (COPJ) pour le 1er septembre prochain. Il devra répondre d'outrages, rebellion et ivresse manifeste sur la voie publique devant le tribunal correctionnel d'Evreux.
Les gendarmes outragés ont quant à eux déposé une plainte à son encontre.
Il est autour de 19 heures. Une patrouille est de retour à la brigade de Bernay. Elle est allée constater un accident matériel à Thiberville. Sur son chemin, elle remarque un piéton qui semble avoir beaucoup de difficulté à tenir sur ses jambes. Il titube. Comme souvent dans ces cas-là, et par sécurité, les militaires proposent à l'inconnu de le ramener chez lui.
Une décharge de 50 000 volts
La discussion ne s'engage pas. L'homme, en état d'ivresse, devient rapidement agressif. En état d'excitation, il insulte les forces de l'ordre et se débat au moment où ces dernières tentent de le faire monter dans leur véhicule pour l'emmener à l'hôpital en vue de le placer par la suite en cellule de dégrisement.
En cours de route, le jeune homme remet ça de plus belle. Cette fois, les gendarmes sont contraints d'utiliser leur pistolet à impulsion électrique pour le calmer. Mais la décharge de 50 000 volts ne suffit pas à le ramener à la raison. En effet, à l'arrivée à l'hôpital, il se débat avec force plus encore, si bien qu'il faut faire appel à des renforts.
Les gendarmes déposent plainte
Après avoir été examiné par un médecin, l'individu a été ramené à la gendarmerie où il a été placé en garde à vue. A l'issue de son audition, il a été remis en liberté avec, en poche, une convocation par officier de police judiciaire (COPJ) pour le 1er septembre prochain. Il devra répondre d'outrages, rebellion et ivresse manifeste sur la voie publique devant le tribunal correctionnel d'Evreux.
Les gendarmes outragés ont quant à eux déposé une plainte à son encontre.