Une opération conjointe de la douane, de l’OCRTIS (office central de répression du trafic illicite de stupéfiants) et de la Police Judicaire a permis la saisie de 82 kg de cocaïne dans le port du Havre, ce dimanche 21 juin. La marchandise est estimée à plus de 5,3 millions d’euros sur le marché illicite de la revente au détail de stupéfiants.
Le contrôle d’un conteneur chargé de café en provenance du Pérou a permis de découvrir la drogue. Dès l’ouverture des portes, les agents des douanes ont constaté la présence de deux sacs de couleur en plastique contenant de la cocaïne posés sur les sacs de café, selon la technique du « rip-off ».
La technique du "rip-off"
Le « rip-off » est une technique de fraude de plus en plus utilisée qui consiste à placer des stupéfiants dans un envoi commercial entre deux sociétés connues (à leur insu). La drogue est généralement contenue dans des sacs, sans dissimulation particulière, prête à être rapidement récupérée au cours du transport par des complices. Ils posent ensuite un scellé neuf, identique à celui qu’ils viennent de rompre, afin de ne pas éveiller les soupçons des autorités.
"Cette affaire illustre une nouvelle fois l’excellente coopération entre les différents services de l’Etat en matière de lutte contre les trafics internationaux de stupéfiants", souligne la direction des douanes, dans un communiqué.
Le contrôle d’un conteneur chargé de café en provenance du Pérou a permis de découvrir la drogue. Dès l’ouverture des portes, les agents des douanes ont constaté la présence de deux sacs de couleur en plastique contenant de la cocaïne posés sur les sacs de café, selon la technique du « rip-off ».
La technique du "rip-off"
Le « rip-off » est une technique de fraude de plus en plus utilisée qui consiste à placer des stupéfiants dans un envoi commercial entre deux sociétés connues (à leur insu). La drogue est généralement contenue dans des sacs, sans dissimulation particulière, prête à être rapidement récupérée au cours du transport par des complices. Ils posent ensuite un scellé neuf, identique à celui qu’ils viennent de rompre, afin de ne pas éveiller les soupçons des autorités.
"Cette affaire illustre une nouvelle fois l’excellente coopération entre les différents services de l’Etat en matière de lutte contre les trafics internationaux de stupéfiants", souligne la direction des douanes, dans un communiqué.