Un homme de 64 ans a été interpellé et placé en garde à vue par les policiers de la Sûreté urbaine et la Brigade anti-criminalité de Versailles, ainsi qu'un complice présumé âgé de 25 ans. Le plus âgé est soupçonné d'être l'auteur de 14 vols par ruse (à la sauce tomate) commis sur des personnes âgées dans la région versaillaise, ces quatre derniers mois.
De novembre 2014 à février 2015, une recrudescence de vols par ruse, avec un mode opératoire particulier, était constatée dans l'agglomération de Versailles. Les auteurs, s'en prenant aux personnes âgées, repéraient leurs codes de CB lors d'achats dans des magasins.
De la sauce tomate comme mode opératoire
Les victimes étaient ensuite suivies jusqu'à leur domicile. L'individu laissait tomber un pot de sauce tomate sur le seuil de leur porte et demandait de l'aide à la victime pour nettoyer les salissures. Il en profitait alors pour dérober la carte bancaire de la victime, qu'il utilisait ensuite pour effectuer des retraits et des achats.
Des recoupements étaient effectués par les policiers et permettaient l'établissement d'une planche photo (photos extraites des images de vidéos des banques). Certaines victimes identifiaient un des mis en cause potentiels.
Les photos étaient inscrites dans le fichier ODICOP, permettant ainsi d'attirer l'attention des policiers ors de leurs patrouilles, et notamment de la Brigade anti-criminalité (BAC) de Versailles qui entreprenait de nombreuses surveillances aux abords des supermarchés. L'enquête permettrait de montrer des liens entre un homme (âgé de 64 ans) et un complice ( âgé de 25 ans), tous deux sans domicile fixe.
Il reconnaît l'ensemble des faits
Ce vendredi 6 mars , les deux suspects étaient repérés à Coignières par un policier en repos de la BAC de Versailles. Des renforts étaient envoyés sur place et les deux individus étaient interpellés puis placés en garde à vue au commissariat de Versailles.
Le plus âgé finissait par reconnaître l'ensemble des vols tandis que l'autre niait farouchement toute participation aux faits. De plus, 9 victimes reconnaissaient l'auteur principal mais pas le second qui ne pouvait être mis en cause.
Le sexagénaire a été déféré au palais de justice de Versailles. A l'issue de sa présentation à un magistrat du parquet, il a été laissé libre dans l'attente d'une convocation ultérieure en justice.
De novembre 2014 à février 2015, une recrudescence de vols par ruse, avec un mode opératoire particulier, était constatée dans l'agglomération de Versailles. Les auteurs, s'en prenant aux personnes âgées, repéraient leurs codes de CB lors d'achats dans des magasins.
De la sauce tomate comme mode opératoire
Les victimes étaient ensuite suivies jusqu'à leur domicile. L'individu laissait tomber un pot de sauce tomate sur le seuil de leur porte et demandait de l'aide à la victime pour nettoyer les salissures. Il en profitait alors pour dérober la carte bancaire de la victime, qu'il utilisait ensuite pour effectuer des retraits et des achats.
Des recoupements étaient effectués par les policiers et permettaient l'établissement d'une planche photo (photos extraites des images de vidéos des banques). Certaines victimes identifiaient un des mis en cause potentiels.
Les photos étaient inscrites dans le fichier ODICOP, permettant ainsi d'attirer l'attention des policiers ors de leurs patrouilles, et notamment de la Brigade anti-criminalité (BAC) de Versailles qui entreprenait de nombreuses surveillances aux abords des supermarchés. L'enquête permettrait de montrer des liens entre un homme (âgé de 64 ans) et un complice ( âgé de 25 ans), tous deux sans domicile fixe.
Il reconnaît l'ensemble des faits
Ce vendredi 6 mars , les deux suspects étaient repérés à Coignières par un policier en repos de la BAC de Versailles. Des renforts étaient envoyés sur place et les deux individus étaient interpellés puis placés en garde à vue au commissariat de Versailles.
Le plus âgé finissait par reconnaître l'ensemble des vols tandis que l'autre niait farouchement toute participation aux faits. De plus, 9 victimes reconnaissaient l'auteur principal mais pas le second qui ne pouvait être mis en cause.
Le sexagénaire a été déféré au palais de justice de Versailles. A l'issue de sa présentation à un magistrat du parquet, il a été laissé libre dans l'attente d'une convocation ultérieure en justice.