Les faits remontent au 16 août dernier. Ce soir-là, vers 21 h 30, une jeune femme de 19 ans a appelé le commissariat de police d'Élancourt (Yvelines) pour signaler que son beau-père, fortement alcoolisé, avait fait preuve de violence envers elle et sa mère.
L'homme, après avoir agressé physiquement sa compagne et sa belle-fille, a pris la fuite avant l'arrivée des forces de l'ordre. La police a appris que les violences étaient récurrentes et qu'elles avaient été commises cette fois-ci en présence d'un enfant de cinq ans. La jeune femme s'est vu prescrire trois jours d'incapacité temporaire de travail par l'unité médico-judiciaire.
L'homme, après avoir agressé physiquement sa compagne et sa belle-fille, a pris la fuite avant l'arrivée des forces de l'ordre. La police a appris que les violences étaient récurrentes et qu'elles avaient été commises cette fois-ci en présence d'un enfant de cinq ans. La jeune femme s'est vu prescrire trois jours d'incapacité temporaire de travail par l'unité médico-judiciaire.
Menaces de mort
La permanence judiciaire a recueilli les plaintes de la jeune femme et de sa mère. Elles ont déclaré que l'agresseur les avait contactées par téléphone dans la nuit pour les menacer de mort suite à l'intervention de la police.
Contacté par téléphone par les policiers, l'homme a refusé de se rendre et a déclaré vouloir prendre la fuite. Grâce à un travail de téléphonie et d'investigation, il a été localisé à Nanterre (Hauts-de-Seine), où il se trouvait au domicile d'un proche. Il a été interpellé par la brigade anticriminalité (BAC) après effraction de la porte d'entrée.
Contacté par téléphone par les policiers, l'homme a refusé de se rendre et a déclaré vouloir prendre la fuite. Grâce à un travail de téléphonie et d'investigation, il a été localisé à Nanterre (Hauts-de-Seine), où il se trouvait au domicile d'un proche. Il a été interpellé par la brigade anticriminalité (BAC) après effraction de la porte d'entrée.
1 an de prison ferme
Lors de son audition en garde à vue, le mis en cause, domicilié à Trappes, a fini par reconnaître en partie les violences et totalement les menaces de mort. Jugé en comparution immédiate, il a été condamné à trois ans de prison, dont un an ferme, avec mandat de dépôt.