L’attention d’un automobiliste de passage est attirée samedi 26 janvier vers 23 heures par trois individus, encagoulés et gantés, qui courent pour aller rejoindre une voiture, stationnée devant la supérette Proxi, rue Jean-Jaurès à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines).
L’automobiliste remarque que l’un des hommes tient dans une main un propulseur de gaz lacrymogène, un autre porte un sac de sport. Les trois suspects s'engouffrent dans un véhicule de couleur bordeaux dont la plaque d’immatriculation finit par BH ou PH, et prennent la fuite en direction de Poissy.
L’automobiliste remarque que l’un des hommes tient dans une main un propulseur de gaz lacrymogène, un autre porte un sac de sport. Les trois suspects s'engouffrent dans un véhicule de couleur bordeaux dont la plaque d’immatriculation finit par BH ou PH, et prennent la fuite en direction de Poissy.
La caissière frappée au visage
Ces précieux éléments, fournis par le témoin, permettent aux policiers de diffuser rapidement un message de recherches, après avoir eu la confirmation que les trois individus viennent de braquer une supérette à Saint-Germain-en-Laye.
Récit des faits. Trois employés se trouvaient dans le commerce au moment de l'attaque, peu avant sa fermeture. Ils racontent aux enquêteurs qu'un des malfaiteurs a frappé la caissière d’un coup de poing au visage, tandis qu’un autre a fait usage du gaz lacrymogène. Les victimes, apeurées et choquées, se sont enfuies vers les toilettes où elles se sont enfermées jusqu’à l’arrivée de la police.
Le préjudice est évalué entre 5 000 et 6 000 euros.
Récit des faits. Trois employés se trouvaient dans le commerce au moment de l'attaque, peu avant sa fermeture. Ils racontent aux enquêteurs qu'un des malfaiteurs a frappé la caissière d’un coup de poing au visage, tandis qu’un autre a fait usage du gaz lacrymogène. Les victimes, apeurées et choquées, se sont enfuies vers les toilettes où elles se sont enfermées jusqu’à l’arrivée de la police.
Le préjudice est évalué entre 5 000 et 6 000 euros.
Interpellés lors d'un accident
Le véhicule des malfaiteurs est bientôt repéré circulant à vive allure vers Poissy par une patrouille de police. Les policiers font alors demi tour pour tenter de l’intercepter. En vain.
Les recherches se poursuivent jusqu'au moment où un appel parvient au standard de police-secours. L'interlocuteur signale un accident de la circulation, impliquant une Peugeot 107, dont l'immatriculation se termine par PH. La voiture n'est pas signalée volée mais elle correspond curieusement à celle recherchée.
En mission dans le secteur, un équipage de la brigade anti-criminalité se rend sur le lieu de l’accident. En arrivant, les policiers constatent à l’intérieur la présence de gants, d’une bombe lacrymogène et d’un sac de sport. Ils interpellent le conducteur et les deux passagers.
Les recherches se poursuivent jusqu'au moment où un appel parvient au standard de police-secours. L'interlocuteur signale un accident de la circulation, impliquant une Peugeot 107, dont l'immatriculation se termine par PH. La voiture n'est pas signalée volée mais elle correspond curieusement à celle recherchée.
En mission dans le secteur, un équipage de la brigade anti-criminalité se rend sur le lieu de l’accident. En arrivant, les policiers constatent à l’intérieur la présence de gants, d’une bombe lacrymogène et d’un sac de sport. Ils interpellent le conducteur et les deux passagers.
Originaires des Mureaux
Les trois braqueurs présumés sont âgés de 33, 34 et 40 ans et domiciliés aux Mureaux. Ils ont été placés en garde à vue pour vol à main armée et violences volontaires avec arme en réunion.
Une enquête a été ouverte afin de préciser le déroulement des faits. Les policiers disposent des enregistrements de la vidéo-protection de la supérette. Les investigations vont également permettre d'établir si les trois muriotins ont déjà commis par le passé des braquages similaires.
Une enquête a été ouverte afin de préciser le déroulement des faits. Les policiers disposent des enregistrements de la vidéo-protection de la supérette. Les investigations vont également permettre d'établir si les trois muriotins ont déjà commis par le passé des braquages similaires.