"J'espère que je ne vais pas devoir coucher dans ma voiture ici !" , s'inquiète Stéphane l'un des naufragés (Photo Stéphane/Infonormandie.com)
"J'espère que je ne vais pas être contraint de dormir ici dans ma voiture".
Il est plus de 0 h 30, cette nuit de lundi à mardi 12 mars. Déjà plus de six heures que Stéphane, 37 ans, a quitté son travail à Rouen. Comme des dizaines d'autres automobilistes, il fait partie des naufragés de la D6015, en Seine-Maritime. Ils sont bloqués par des congères qui se sont formées sous l'effet des rafales de vent.
Plus moyen d'avancer à Croix-Mare. Certains véhicules sont en travers de la chaussée, d'autres dans le fossé. Pompiers et gendarmes sont sur place pour tenter d'apporter un peu d'aide et de réconfort à ces "galériens" dont la plupart ont une dure journée de travail dans les jambes.
Bloqué depuis plus de 4 heures
"Je suis parti de Rouen à 18 heures et je suis bloqué là depuis 20 heures", raconte-t-il au téléphone à infonormandie.com.
Aucune voiture ne peut plus circuler dans les deux sens. On est peut-être condamnés à passer la nuit ici !"
Les naufragés gardent leur sang froid. Une tractopelle est arrivée sur place peu avant minuit et tente de dégager ces monticules de neige glacée qui encombrent la route. L'engin fait son oeuvre et une sorte de voie de la liberté s'ouvre petit à petit devant ces dizaines d'automobilistes qui vont tenter, enfin, de rentrer chez eux.
Stéphane, lui, demeure à côté de Saint-Valery-en-Caux. Il lui reste encore une bonne trentaine de kilomètres à parcourir dans la campagne, sur une route verglacée.
"Quand je suis parti de Rouen ça roulait pas trop mal. Les ennuis ont commencé en arrivant dans la cuvette de Barentin sur l'A150, où les premières véritables difficultés sont apparues. Résultat me voilà bloqué ici. Et pour combien de temps encore ?"
DERNIERE MINUTE : Comme il le craignait, Stéphane a bien été contraint de dormir toute la nuit dans sa voiture, à Croix-Mare !
Il est plus de 0 h 30, cette nuit de lundi à mardi 12 mars. Déjà plus de six heures que Stéphane, 37 ans, a quitté son travail à Rouen. Comme des dizaines d'autres automobilistes, il fait partie des naufragés de la D6015, en Seine-Maritime. Ils sont bloqués par des congères qui se sont formées sous l'effet des rafales de vent.
Plus moyen d'avancer à Croix-Mare. Certains véhicules sont en travers de la chaussée, d'autres dans le fossé. Pompiers et gendarmes sont sur place pour tenter d'apporter un peu d'aide et de réconfort à ces "galériens" dont la plupart ont une dure journée de travail dans les jambes.
Bloqué depuis plus de 4 heures
"Je suis parti de Rouen à 18 heures et je suis bloqué là depuis 20 heures", raconte-t-il au téléphone à infonormandie.com.
Aucune voiture ne peut plus circuler dans les deux sens. On est peut-être condamnés à passer la nuit ici !"
Les naufragés gardent leur sang froid. Une tractopelle est arrivée sur place peu avant minuit et tente de dégager ces monticules de neige glacée qui encombrent la route. L'engin fait son oeuvre et une sorte de voie de la liberté s'ouvre petit à petit devant ces dizaines d'automobilistes qui vont tenter, enfin, de rentrer chez eux.
Stéphane, lui, demeure à côté de Saint-Valery-en-Caux. Il lui reste encore une bonne trentaine de kilomètres à parcourir dans la campagne, sur une route verglacée.
"Quand je suis parti de Rouen ça roulait pas trop mal. Les ennuis ont commencé en arrivant dans la cuvette de Barentin sur l'A150, où les premières véritables difficultés sont apparues. Résultat me voilà bloqué ici. Et pour combien de temps encore ?"
DERNIERE MINUTE : Comme il le craignait, Stéphane a bien été contraint de dormir toute la nuit dans sa voiture, à Croix-Mare !