La police a dû faire usage de son armement collectif pour disperser les assaillants - Illustration © Adobe Stock
Des échauffourées ont éclaté à l'issue de la rencontre de foot opposant, en nationale 2, le FC Rouen et le Racing club de France, samedi soir, au stade Robert-Diochon à Petit-Quevilly (Seine-Maritime).
Au moment où ils s'apprêtaient à remonter dans leur bus, à la fin de la rencontre, les supporters du Racing club de France ont été été pris à partie par une cinquantaine de supporters du FC Rouen, bien décidés à en découdre. Afin d'éviter tout affrontement, les supporters parisiens ont été invités à revenir dans le stade pour se mettre à l'abri.
Leurs agresseurs se sont vengés en brisant deux vitres du bus avec des projectiles, avant de s'en prendre au service d'ordre du stade et aux policiers.
Au moment où ils s'apprêtaient à remonter dans leur bus, à la fin de la rencontre, les supporters du Racing club de France ont été été pris à partie par une cinquantaine de supporters du FC Rouen, bien décidés à en découdre. Afin d'éviter tout affrontement, les supporters parisiens ont été invités à revenir dans le stade pour se mettre à l'abri.
Leurs agresseurs se sont vengés en brisant deux vitres du bus avec des projectiles, avant de s'en prendre au service d'ordre du stade et aux policiers.
La police utilise des grenades lacrymogènes
Les forces de l'ordre (brigade anticriminalité, brigade canine et brigade spécialisée de terrain) ont dû faire usage de grenades lacrymogènes pour disperser les assaillants. Ces derniers sont allés ensuite se rassembler au rond-point du Zenith.
Par sécurité, la ligne de bus de la TCAR a été interrompue une vingtaine de minutes, le temps de l'intervention policière et jusqu'au retour au calme.
Les supporters du Racing 92 ont pu quitter Rouen en empruntant un chemin détourné (pour éviter le rond-point du Zenith) et sous escorte d'un équipage de la BAC.
Il n'ya pas eu de blessé et aucune interpellation pour le moment.
Par sécurité, la ligne de bus de la TCAR a été interrompue une vingtaine de minutes, le temps de l'intervention policière et jusqu'au retour au calme.
Les supporters du Racing 92 ont pu quitter Rouen en empruntant un chemin détourné (pour éviter le rond-point du Zenith) et sous escorte d'un équipage de la BAC.
Il n'ya pas eu de blessé et aucune interpellation pour le moment.