La quinquagénaire, mise en examen pour meurtre par conjoint a été placée en détention provisoire - Illustration © Adobe Stock
La femme de 54 ans accusée d'avoir poignardé son conjoint âgé de 46 ans au cours d'une dispute dans la nuit du mardi 27 au mercredi 28 septembre, à Elbeuf (Seine-Maritime) a été placée en détention provisoire, ce jeudi soir, par le juge des libertés et de la détention (JLD). La quinquagénaire, mise en examen pour « meurtre par conjoint », a contesté avoir voulu donner la mort à son compagnon.
C'est cette femme elle-même qui avait prévenu les secours, la nuit du drame peu avant minuit et demi pour signaler qu'elle venait de poignarder son compagnon. Sur place, les sapeurs-pompiers avaient découvert, dans l'appartement du couple, situé dans un immeuble de trois étages au 18, rue Guynemer, à Elbeuf, la victime en arrêt cardio-respiratoire et perdant son sang. La tentative de réanimation avait échoué et le décès du quadragénaire a été déclaré sur place par le médecin du SMUR.
C'est cette femme elle-même qui avait prévenu les secours, la nuit du drame peu avant minuit et demi pour signaler qu'elle venait de poignarder son compagnon. Sur place, les sapeurs-pompiers avaient découvert, dans l'appartement du couple, situé dans un immeuble de trois étages au 18, rue Guynemer, à Elbeuf, la victime en arrêt cardio-respiratoire et perdant son sang. La tentative de réanimation avait échoué et le décès du quadragénaire a été déclaré sur place par le médecin du SMUR.
Cerner la personnalité de l'accusée
La femme, alcoolisée, avait été interpellée par un équipage de police secours dépêché sur les lieux, alors qu'elle se trouvait dans la rue près de son domicile et avait été placée en garde à vue pour homicide dans les locaux de la Sûreté départementale, chargée de l'enquête.
Une instruction judiciaire a été ouverte par le parquet au cabinet d'un juge d'instruction de Rouen. Les investigations, confiées à la sûreté départementale, vont se poursuivre sur commission rogatoire et devraient permettre de mieux cerner la personnalité de l'accusée.
Une instruction judiciaire a été ouverte par le parquet au cabinet d'un juge d'instruction de Rouen. Les investigations, confiées à la sûreté départementale, vont se poursuivre sur commission rogatoire et devraient permettre de mieux cerner la personnalité de l'accusée.