Les élèves, enseignants ainsi que le personnel administratif de l'étabvlisssement ont été évacués le temps de procéder à une levée de doute - Illustration © Google Maps
Le lycée du Val de Seine à Grand-Quevilly, en Seine-Maritime, a été évacué ce lundi 4 décembre. Peu avant 9 h 30, la direction de l'établissement a reçu un message pour le moins inquiétant faisant état d'une alerte à la bombe. La totalité des 1500 élèves, des 150 enseignants et autres personnels, a été invité à quitter le lycée pour se rassembler dans un lieu sûr, le temps pour les forces de l'ordre de procéder à l'inspection des locaux.
Ces vérifications n'ont pas permis de découvrir le moindre objet suspect. La levée de doute terminée, les lycées et les enseignants ont pu réintégrer en toute sécurité les salles de classes, vers 11h30.
Une enquête a été ouverte par les services de police, afin d'identifier l'auteur de cette fausse alerte.
Ces vérifications n'ont pas permis de découvrir le moindre objet suspect. La levée de doute terminée, les lycées et les enseignants ont pu réintégrer en toute sécurité les salles de classes, vers 11h30.
Une enquête a été ouverte par les services de police, afin d'identifier l'auteur de cette fausse alerte.
D'autres fausses alertes
Deux autres établissements scolaires de la métropole de Rouen avaient été visés, il y a une dizaine de jours, par de fausses alertes à la bombe.
Le 21 novembre, le lycée Blaise Pascal, rue des Emmurées à Rouen avait été totalement évacué, en milieu de matinée. Deux jours après, c'était le collège Émile-Zola, rue Alexandre-Ribot à Sotteville-lès-Rouen avait reçu un appel signalant la présence d’un engin explosif à l’intérieur de l’établissement. Dans les deux cas, il s'agissait de fausses alertes.
Les auteurs d'alerte à la bombe encourent jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.
Le 21 novembre, le lycée Blaise Pascal, rue des Emmurées à Rouen avait été totalement évacué, en milieu de matinée. Deux jours après, c'était le collège Émile-Zola, rue Alexandre-Ribot à Sotteville-lès-Rouen avait reçu un appel signalant la présence d’un engin explosif à l’intérieur de l’établissement. Dans les deux cas, il s'agissait de fausses alertes.
Les auteurs d'alerte à la bombe encourent jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.