La police met en garde les baigneurs qui fréquentent la plage du Havre, en Seine-Maritime, en cette période estivale.
Dimanche en fin d’après-midi, deux jeunes gens y ont été interpellés alors qu’ils venaient de dérober un téléphone portable dans un sac laissé sur le sable par son propriétaire parti faire quelques brasses histoire de se rafraîchir.
En toute fin d’après-midi, l’’attention d’un homme allongé sur la plage a été attirée par le curieux manège de deux adolescents. Tandis que l’un faisait le guet, son complice fouillait les sacs livrés à eux-mêmes des baigneurs.
Dimanche en fin d’après-midi, deux jeunes gens y ont été interpellés alors qu’ils venaient de dérober un téléphone portable dans un sac laissé sur le sable par son propriétaire parti faire quelques brasses histoire de se rafraîchir.
En toute fin d’après-midi, l’’attention d’un homme allongé sur la plage a été attirée par le curieux manège de deux adolescents. Tandis que l’un faisait le guet, son complice fouillait les sacs livrés à eux-mêmes des baigneurs.
Interpellé par un témoin des faits
Sans attendre, le témoin s’est lancé en direction des suspects et en a rattrapé un, celui qui venait de voler un téléphone portable. Le jeune homme a été remis aux CRS en sécurisation sur la plage, après avoir été sermonné par les témoins de la scène. Le guetteur, dont le signalement a été fourni par le témoin, a été interpellé à son tour un peu plus tard.
Les deux adolescents de 15 et 16 ans, domiciliés au Havre, ont été placés en garde à vue. Le voleur du téléphone a reconnu les faits lors de son audition. Il a fait l’objet d’une convocation pour le 7 septembre devant le tribunal en vue d’une réparation pénale. Son complice a, quant à lui, nié catégoriquement les faits. Il a été laissé libre.
Tous les deux étaient jusqu’à présent inconnus des services de police.
Les deux adolescents de 15 et 16 ans, domiciliés au Havre, ont été placés en garde à vue. Le voleur du téléphone a reconnu les faits lors de son audition. Il a fait l’objet d’une convocation pour le 7 septembre devant le tribunal en vue d’une réparation pénale. Son complice a, quant à lui, nié catégoriquement les faits. Il a été laissé libre.
Tous les deux étaient jusqu’à présent inconnus des services de police.