Deux commerces de Fécamp, une station service et un bar-tabac, avaient été braqués en moins de vingt-quatre d'intervalles les 14 et 15 juin (lire ici le rappel des faits) Dans les deux cas, il n' y avait pas eu de blessé et le montant des préjudices était relativement faible.
Aussi, si le braqueur de la station-service Total court toujours, celui du bar-tabac La Civette est désormais derrière les barreaux. Il a été identifié rapidement après les faits grâce à l'analyse scientifique d'empreintes digitales retrouvées sur le lieu du hold-up.
"Gros soucis d'argent"
Des empreintes qui correspondaient à celles d'un individu répertorié au fichier national automatisé des empreintes génétiques : Edouard Delaune, un jeune homme de vingt ans sans domicile fixe. Interpellé le 18 juin à 6 heures du matin au domicile d'une amie, à Fécamp, le suspect a d'abord nié les faits, avant de les reconnaître quelques heures plus tard pendant sa garde à vue.
Lors de son interrogatoire, le mis en cause a expliqué avoir de gros soucis d'argent, ce qui l'a conduit à commettre ce vol à main armée chez ce commerçant qu'il connaissait.
Une arme factice
Lors de la perquisition, l'arme de poing n'a pas été retrouvée. Mais selon, le braqueur il s'agissait un pistolet factice, un jouet, qu'il s'était procuré quinze jours plus tôt dans le quartier de Ramponneau à Fécamp. Quant à l'argent dérobé au commerçant, il a assuré aux policiers l'avoir aussitôt dépensé pour acheter de l'alcool.
Jugé en comparution immédiate jeudi 20 juin, Edouard Delaune a été condamné à trois ans d'emprisonnement dont six avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans. Il devra en outre indemniser le commerçant dès sa sortie de prison.
Aussi, si le braqueur de la station-service Total court toujours, celui du bar-tabac La Civette est désormais derrière les barreaux. Il a été identifié rapidement après les faits grâce à l'analyse scientifique d'empreintes digitales retrouvées sur le lieu du hold-up.
"Gros soucis d'argent"
Des empreintes qui correspondaient à celles d'un individu répertorié au fichier national automatisé des empreintes génétiques : Edouard Delaune, un jeune homme de vingt ans sans domicile fixe. Interpellé le 18 juin à 6 heures du matin au domicile d'une amie, à Fécamp, le suspect a d'abord nié les faits, avant de les reconnaître quelques heures plus tard pendant sa garde à vue.
Lors de son interrogatoire, le mis en cause a expliqué avoir de gros soucis d'argent, ce qui l'a conduit à commettre ce vol à main armée chez ce commerçant qu'il connaissait.
Une arme factice
Lors de la perquisition, l'arme de poing n'a pas été retrouvée. Mais selon, le braqueur il s'agissait un pistolet factice, un jouet, qu'il s'était procuré quinze jours plus tôt dans le quartier de Ramponneau à Fécamp. Quant à l'argent dérobé au commerçant, il a assuré aux policiers l'avoir aussitôt dépensé pour acheter de l'alcool.
Jugé en comparution immédiate jeudi 20 juin, Edouard Delaune a été condamné à trois ans d'emprisonnement dont six avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans. Il devra en outre indemniser le commerçant dès sa sortie de prison.