Les routiers ce matin sur le barrage filtrant mis en place au rond-point des vaches à Saint-Etienne-du-Rouvray (Capture d'écran France 3)
Petite mobilisation dans l'agglomération de Rouen à l'occasion de la journée d'action organisée ce lundi par les syndicats des transports routiers (CFDT, CGT, FO, CFTC, CFE-CGC). Selon des chiffres communiqués par les services de police, en fin de matinée, une cinquantaine de manifestants étaient rassemblés sur deux barrages filtrants au rond-point des Vaches à Saint-Etienne-du-Rouvray et au rond-point de Madagascar, à la sortie du pont Flaubert, sur la rive gauche de Rouen.
Circulation très ralentie
Dès 6 heures, une trentaine de routiers, certains venus avec leurs camions, ont d'abord "occupé" le rond-point des Vaches, provoquant un gigantesque embouteilage. Ils se sont rendus ensuite, vers 7h30, au rond-point de Madagascar, à l'entrée du pont Flaubert. Les services de police ont mis en place des déviations afin d'empêcher la paralysie totale de l'agglomération. Néanmoins, ces barrages ont eu des répercussions sur la plupart des grands axes routiers, en particulier sur la Sud 3 et l'A150 (Barentin - Rouen).
Nouvelle action cet après-midi ?
Les routiers réclament toujours une revalorisation de leurs salaires, bloqués depuis 2012. Les négociations salariales entamées entre l'intersyndicale et les organisations patronales ont été rompues le 9 février dernier. Dès lors, les syndicats avaient prévenu qu'ils durciraient le mouvement.
Les manifestants envisageient ce lundi en fin de matainée de se regrouper dans l'après-midi devant le terminal pétrolier Rubis, boulevard Stalingrad, à Grand-Quevilly. Il n'était pas exclu le blocage de ce dépôt, comme le 20 janvier dernier.
Circulation très ralentie
Dès 6 heures, une trentaine de routiers, certains venus avec leurs camions, ont d'abord "occupé" le rond-point des Vaches, provoquant un gigantesque embouteilage. Ils se sont rendus ensuite, vers 7h30, au rond-point de Madagascar, à l'entrée du pont Flaubert. Les services de police ont mis en place des déviations afin d'empêcher la paralysie totale de l'agglomération. Néanmoins, ces barrages ont eu des répercussions sur la plupart des grands axes routiers, en particulier sur la Sud 3 et l'A150 (Barentin - Rouen).
Nouvelle action cet après-midi ?
Les routiers réclament toujours une revalorisation de leurs salaires, bloqués depuis 2012. Les négociations salariales entamées entre l'intersyndicale et les organisations patronales ont été rompues le 9 février dernier. Dès lors, les syndicats avaient prévenu qu'ils durciraient le mouvement.
Les manifestants envisageient ce lundi en fin de matainée de se regrouper dans l'après-midi devant le terminal pétrolier Rubis, boulevard Stalingrad, à Grand-Quevilly. Il n'était pas exclu le blocage de ce dépôt, comme le 20 janvier dernier.