En Seine-Maritime, on estime à environ 700 le nombre de véhicules qui sont détruits ou endommagés par le feu chaque année. Il s'agit parfois de feu accidentel, mais le plus souvent l'origine est criminelle : vengeance, réglement de comptes, fraude à l'assurance... @Photo d'illustration
SEINE-MARITIME. La rue des Belges à Maromme, dans la banlieue de Rouen, a été le théâtre dans la nuit de ce mercredi 25 juin, un peu avant 2h50, d'un violent feu de voitures.
L'incendie s'est déclaré sur une Citroën C5, en stationnement devant l'immeuble Artois, et s'est rapidement propagé à cinq autres véhicules garés à proximité dont deux - un Picasso et une 106 - ont été totalement détruites par les flammes en plus de la Citroën C5. Trois autres, un Scénic, une 405 et une Opel Corsa, ont été endommagées. Le feu a également noirci la façade de l'immeuble et provoqué des dégâts aux fenêtres des appartements situés au rez-de-chaussée et au premier étage.
L'origine de l'incendie n'a pas pu être déterminée à ce stade de l'enquête qui a été confiée à la brigade de voie publique de la sûreté départementale. Toutes les hypothèses - accidentelle ou criminelle - sont examinées.
L'incendie s'est déclaré sur une Citroën C5, en stationnement devant l'immeuble Artois, et s'est rapidement propagé à cinq autres véhicules garés à proximité dont deux - un Picasso et une 106 - ont été totalement détruites par les flammes en plus de la Citroën C5. Trois autres, un Scénic, une 405 et une Opel Corsa, ont été endommagées. Le feu a également noirci la façade de l'immeuble et provoqué des dégâts aux fenêtres des appartements situés au rez-de-chaussée et au premier étage.
L'origine de l'incendie n'a pas pu être déterminée à ce stade de l'enquête qui a été confiée à la brigade de voie publique de la sûreté départementale. Toutes les hypothèses - accidentelle ou criminelle - sont examinées.