A l'arrivée de l'hélicoptère, le navire était désemparé au milieu des vagues et des rochers - Photo © Préfecture maritime
Le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) de Jobourg a engagé, ce vendredi 28 septembre, des moyens d'assistance et de sauvetage après avoir reçu un message de détresse "mayday" émis par le skipper du voilier "El bandido de Chile" à 20h10.
Dès que la position du voilier en difficulté a pu être précisément établie, l'hélicoptère Caïman de la Marine nationale s'est envolé pour rejoindre le skipper en situation de détresse : son embarcation s'était échouée aux abords du chenal du port de Barfleur et se faisait « drosser par la violence des vagues vers les rochers tous proches », indique la préfecture maritime, dans un communiqué.
Dès que la position du voilier en difficulté a pu être précisément établie, l'hélicoptère Caïman de la Marine nationale s'est envolé pour rejoindre le skipper en situation de détresse : son embarcation s'était échouée aux abords du chenal du port de Barfleur et se faisait « drosser par la violence des vagues vers les rochers tous proches », indique la préfecture maritime, dans un communiqué.
Des vagues de 3 mètres
A l'arrivée de l'hélicoptère, le navire était désemparé au milieu des vagues et des rochers. L'équipage de l'hélicoptère a mis à l'eau un plongeur qui a rejoint le voilier puis équipé le skipper pour le treuillage. Récupéré sain et sauf, le "naufragé" a ensuite été déposé au niveau du phare de Gatteville où il a été pris en charge par les sapeurs-pompiers vers 21 heures et emmené à l'hôpital de Cherbourg.
Le naufrage s'est produit dans des conditions météorologiques très dégradées avec des vagues de 3 mètres et un vent de force 8 (35 noeuds soit 64 km/h). « Moins de dix minutes après le treuillage du skipper le voilier s'est entièrement disloqué et son épave continue d'être drossée à la côte à la faveur de la marée montante », souligne la préfecture maritime.
Le naufrage s'est produit dans des conditions météorologiques très dégradées avec des vagues de 3 mètres et un vent de force 8 (35 noeuds soit 64 km/h). « Moins de dix minutes après le treuillage du skipper le voilier s'est entièrement disloqué et son épave continue d'être drossée à la côte à la faveur de la marée montante », souligne la préfecture maritime.