Le mystère demeure autour de la disparition d'Owen Cerf, 19 ans. Le jeune homme n'a pas donné signe de vie depuis le 6 octobre. Il a été vu pour la dernière fois cette nuit-là, vers 3h30, sur les quais de Rouen à proximité de la discothèque "Le So", une boîte de nuit dans laquelle il avait passé la soirée.
Très inquiète, la maman d'Owen s'est présentée dans la soirée du 6 octobre à l'hôtel de police de Rouen pour signaler la disparition de son fils.
Très inquiète, la maman d'Owen s'est présentée dans la soirée du 6 octobre à l'hôtel de police de Rouen pour signaler la disparition de son fils.
Investigations tous azimuts
Sans attendre, une forte mobilisation a eu lieu sur les réseaux sociaux à la suite de l’alerte par les proches et amis du jeune homme.
Les services de police ont ouvert une enquête immédiatement et les premières recherches ont été engagées alors qu'en même temps le disparu a été inscrit au fichier des personnes recherchées, indique dans un communiqué Sébastien Gallois, le procureur de la République qui suit naturellement l'affaire de près.
« De nombreuses investigations sont en cours, notamment auprès des opérateurs de téléphonie et de vidéoprotection, ainsi que des établissements bancaires », précise le magistrat.
Les services de police ont ouvert une enquête immédiatement et les premières recherches ont été engagées alors qu'en même temps le disparu a été inscrit au fichier des personnes recherchées, indique dans un communiqué Sébastien Gallois, le procureur de la République qui suit naturellement l'affaire de près.
« De nombreuses investigations sont en cours, notamment auprès des opérateurs de téléphonie et de vidéoprotection, ainsi que des établissements bancaires », précise le magistrat.
Des recherches dans la Seine
La brigade fluviale de la gendarmerie a été requise afin de procéder à des opérations de sondage de la Seine, lesquelles sont en cours. Plusieurs témoins déjà identifiés doivent également être entendus par les enquêteurs.
La police a également mis en place une centralisation des témoignages à la suite d’un appel à témoins qui a été diffusé sur les réseaux sociaux, note encore le procureur.
La police a également mis en place une centralisation des témoignages à la suite d’un appel à témoins qui a été diffusé sur les réseaux sociaux, note encore le procureur.